Ca sent l’incivisme à plein nez, c’est très mal vu par certain, surement l’injustice due au fait que pour faire baisser ses impôts, il faut en avoir les moyens !
Il faut simplement se dire que l’action de diminuer ses impôts s’inscrit dans un rapport de gagnant/gagnant avec la finance publique. La vingtaine de possibilités de réduire la douloureuse, comporte des contreparties économiques et sociales très ciblées.
Il est vrai que nous préfèrons la notion d’« optimisation fiscale » à « défiscalisation », parce que dans la plupart des cas, la baisse d’impôt accompagne une dépense plutôt qu’elle n’en est à l’origine, c’est la cerise sur le gâteau, pas l’inverse !
Mais bon, puisqu’il est légal de faire baisser son impôt, allons-y !
On a classé la fiscalité en trois parties : l’impôt sur le revenu et les contributions sociales qui impactent tous les flux de ressources du contribuable, l’impôt sur la fortune s’occupe quant à lui du patrimoine détenu et les droits de succession érodent de génération en génération les biens transmis.